-
...
Pour ceux qui sont restés, pour les pilliers de toujours que l'on ne rencontre plus qu'au fil des lustres
Pour ceux qui n'oublient pas, et qui comme nous, chérissent ces souvenirs, quand on croyait être tout seul
Quand le jeu nous accable et que le tonnerre gronde
Qui évoquent ces bruits, ces bavardages sans suite, ces odeurs enfouies
Pour ceux-là que j'oublie de placer dans mes lignes, parce qu'ils sont mes racinesMerci
-
Commentaires