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C'est donc cela.
Voilà, c'est tout.. juste cela.
Les baumes empoisonnés.
Les voix qui susurrent les mots de la fin, tout est déjà prêt pour graver l'épitaphe."Etoile reste
Etoile part
Etoile n'a pas la plus riante
ni la plus douce des lumières"Et l'odeur des roses des prairies. Loin des mondes bâtis avec des roses sans épines.
Il est déjà bien lourd le poids de la petitesse résignée. La vanité, on a beau dire, mais ça donnait des ailes, un peu de légèreté du moins, pour traverser l'étendue plate.
Qu'importe puisque c'est loin derrière, la route s'est déjà effondrée sur ces pieux mensonges et a scellé la tombe.Au seuil des invisibles, face au portail de fer planté dans la prairie.
Sur ce point nulle part qui embrasse les mondes.
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