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Je suis comme le Quetzal, je suis dans la demeure du seul Dieu ; je chante des chansons douces parmi les fleurs ; je chante et je réjouis mon coeur.
Les gouttes de rosée s'évaporant des fleurs dans le champs enivrent mon âme.
Je m'afflige de ce que même cette demeure sur terre doive finir.
Je prévois, moi, Mexica, que notre règne a commencé à être détruit, je me suis mis à pleurer...
Que je n'aie pas de colère de ce que la grandeur de Mexico doive être détruite.
Celui qui a pris soin des livres a pleuré, il a pleuré le commencement de la destruction.Un chant de lamentation Nahuatl.
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