• ...

    Rappelle-moi Etiloat.
    Parle-moi encore de l'aurore boréale.
    Du crépuscule vert qui dort sur le pays figé.
    De l'eau absolument tranquille, de l'air pour jamais vide,
    des couleurs saturées d'un tableau qui retient son souffle.
    Rappelle-moi Etiloat.
    Comment m'y rendre à nouveau, comment t'y retrouver...
    Quel langue utilisions-nous, comment nous comprenions-nous ?
    Naguère, quand je comptais les portes,
    quand les ombres parlaient,
    quand je les entendais...

    « ...... »

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