• ...

    ..."alors à présent et pour toute ta vie, il faut nous dire aurevoir."
    cette fois l'adieu est scellé et il faudra continuer de suivre la route.

    "Etoile reste
    Etoile part
    Etoile n'a pas la plus riante ni la plus douce des lumières
    Etoile est celle qui brille au loin
    au-dessus de nos long chemins
    avec pour tout bagage ce qui n'a pas de nom."

    C'est la peine acquise qui est la plus destructrice.
    "Tu es le mat malgré toi, pas de beauté dans ce que tu es, tu es juste une étrangère et tu le sais bien. Tristement résignée à l'oppression."

    Et je sais bien que je suis seule sur la route. Seule à sentir la douleur de mes pieds. A regarder les autres adoucir leur existence en sachant que ce ne sera pas mon cas. Toute entière au dur travail de mourir. Le deuil de mon identité. Avant de me décomposer.

    "Elle est l'étoile de notre chemin. Elle est la haine et l'amour, et tout ce que nous sentons, et est notre point faible. Il nous faut la voir comme ce qu'elle est, à savoir la part d'individualité illusoire que nous possédons malgré tout.Fais le deuil de ton identité car elle mourra avec ton corps."


    Les loas se sont tus, et pour toute la vie ils ne reparleront. Les loas se sont tus, et un jour j'oublierai comment nous leur parlions.
    Plus besoin de loups...

    "rien de plus.
    C'est la vie qui continue et la route qui, adroite, trace à travers les ronces."

    Puisqu'ainsi vont les choses.
    Puisque la vie continue et que la route trace sans se soucier des fausses conversations.
    Puisqu'il faut marcher encore, et jusqu'au bout sans oublier, que tout est là, tout. Tout.
    A plus tard peut être, de l'autre côté des mondes...
    « rêve de merde... »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :